ÉDITO
par Caroline GUIGUET, Coordinatrice
Un petit rappel est toujours bénéfique donc il nous a semblé pertinent de consacrer cette lettre à valoriser l’ensemble des ressources en addictologie de notre département et même un peu au-delà… Nous vous offrons la possibilité de mieux appréhender vos ressources territoriales et de vous référer à l’annuaire en ligne si vous voulez aller plus loin.
L’objectif, comme toutes les Lettres de LOIREADD’, est de mettre à votre disposition un outil pratique d’aide à l’orientation lorsque vous êtes confronté à une demande spécifique.
L’offre de soins en addictologie est complète et équilibrée dans notre département, reste à connaitre et reconnaitre les différentes structures et leur spécificité, d’où cette « explication de texte » !
C’est aussi l’occasion de vous annoncer la prochaine mise à jour de l’annuaire en ligne LOIREADD’. Vous recevrez prochainement par courrier, un formulaire de mise à jour que vous voudrez bien nous retourner complété et modifié si nécessaire.
Si vous n’avez pas été contacté dans le cadre de la mise à jour ou si vous ne figurez pas dans l’annuaire et que vous voulez y apparaître, n’hésitez pas à nous contacter, la démarche est simple et rapide !
Les CSAPA, proposent un accompagnement gratuit et confidentiel aux personnes ayant une consommation à risque, un usage nocif ou présentant une dépendance aux substances psychoactives (licites ou non, y compris tabac et médicaments détournés de leur usage). Leur mission s’étend également aux personnes souffrant d’addictions sans substance (en particulier le jeu pathologique) ainsi que pour leur entourage.
Grâce à la pluridisciplinarité des équipes qui y travaillent, la personne bénéficie d’une prise en charge globale, à la fois psychologique, sociale, éducative et médicale. Les centres proposent différents types d’approche : individuelles (éducatives, sociales, psychothérapeutiques etc.), collectives (groupes de parole par exemple) et familiales.
Avec les professionnels du CSAPA, l’usager pourra mettre en place l’accompagnement qui lui convient le mieux. Il pourra notamment opter pour un sevrage ambulatoire (sans hospitalisation) ou hospitalier en étant accueilli dans un service partenaire. L’accompagnement proposé par le CSAPA peut se poursuivre durant toute la durée du sevrage, y compris hospitalier, et bien au-delà. En effet, la personne sevrée peut continuer à être accueillie dans le cadre d’entretiens ou d’ateliers spécifiques visant à consolider son arrêt.
CSAPA du Gier
6 rue Hélène Boucher
42800 Rive de Gier
04 77 74 90 89
Site du CSAPA du Gier
Dans certains CSAPA les usagers d’opiacés qui le souhaitent pourront être accompagnés dans la mise en place d’un traitement de substitution. Le traitement est prescrit par le personnel médical du centre et la personne peut également bénéficier d’un suivi et d’un accompagnement global.
De plus, les CSAPA proposent un accueil de l’entourage. Les proches peuvent être reçus de façon ponctuelle ou entamer un suivi régulier. Ce suivi peut prendre la forme d’entretiens individuels avec un professionnel ou de rencontres collectives lors de groupes de parole par exemple.
Les CSAPA peuvent accueillir les usagers en ambulatoire ou bien proposer des services de soin résidentiel comme les Communautés Thérapeutiques (CT) : soin résidentiel avec hébergement collectif, fondé sur une prise en charge où un groupe de résidents-pairs est le moteur du soin et de l’entraide. Elles accueillent les personnes dont la prise en charge en ambulatoire se révèle insuffisante ou non pertinente. Elles proposent un programme thérapeutique essentiellement basé sur la vie communautaire, les activités de groupe, les interactions avec les pairs, la reconnaissance et l’expression des émotions.
Conditions d’accès :
Les CSAPA accueillent, de façon gratuite et anonyme, sur demande, toute personne qui souhaite être aidée et en fait la démarche. L’accueil est donc basé sur le volontariat des personnes, mais celles-ci peuvent également être orientées suite à une mesure judiciaire (injonction de soins par exemple).
- Décret n° 2007-877 du 14 mai 2007 relatif aux missions des centres de soins, d’accompagnement et de prévention en addictologie
- Décret n° 2008/87 du 24 janvier 2008 relatif au fonctionnement et au financement des CSAPA
L’objectif de ces consultations est d’accueillir des jeunes consommateurs (entre 12 et 25 ans) en questionnement sur leur consommation, ainsi que leur entourage. Le principe est de faire le point, éventuellement de proposer une aide, avant que la consommation ne devienne problématique.
Toutes les problématiques d’addiction peuvent être abordées dans ces lieux : l’usage d’alcool, de cannabis, la pratique de jeux vidéo ou de l’utilisation d’Internet.
Les jeunes peuvent s’y rendre seuls ou accompagnés de leur parent ou d’un proche. Les parents peuvent également être reçus avec ou sans le jeune concerné.
Le premier entretien est généralement consacré à l’évaluation de la situation du jeune et au bilan de sa consommation. Au-delà du regard porté sur la problématique de consommation, la situation du jeune est évoquée dans sa globalité. Peuvent être abordés la scolarité, les liens familiaux et amicaux, le mal-être éventuel, la santé…
Suite à cette étape d’évaluation de la situation, le professionnel et le jeune s’orientent de façon conjointe vers la prise en charge la mieux adaptée. L’arrêt de la consommation ou la réduction de celle-ci pourront être envisagés. Si d’autres difficultés émergent au cours des entretiens, une prise en charge complémentaire pourra être proposée. L’accompagnement peut se poursuivre durant une période plus ou moins longue selon la situation du jeune.
L’entourage est reçu au sein de ces lieux comme un acteur à part entière. Il y trouvera un soutien, une écoute attentive et bienveillante ainsi que des informations précises sur les produits et sur les addictions. En fonction de la problématique et de la relation avec le jeune concerné, l’accompagnement pourra se mettre en place avec l’entourage seul ou avec le jeune. La prise en charge peut prendre la forme d’une aide éducative, d’un soutien individuel ou d’une approche de groupe. Dans cette approche groupale, les parents confrontés à des difficultés similaires peuvent s’épauler en s’apportant leur expérience respective.
Saint-Etienne
2 Bd des États-Unis
42000 Saint-Etienne
04 77 49 62 49
Roanne
19 rue Augagneur
42300 Roanne
04 77 70 11 25
Montbrison
Boulevard des Monts du Soir
42600 Montbrison
04 77 96 78 53
Firminy
44 bis Rue de la Tour-de-Varan
42700 Firminy
06 80 15 20 55
Rive-de-Gier
6 rue Hélène Boucher
42800 Rive de Gier
04 77 74 90 89
La Fédération Addiction à édité en 2012 un guide sur les pratiques dans les Consultations Jeunes Consommateurs « avec et pour » les professionnels des CJC. Des fiches thématiques abordent le fonctionnement des CJC, l’accueil, l’accompagnement du jeune consommateur et de son entourage et l’intervention précoce. Elles sont des supports pédagogiques destinés à faciliter l’appropriation des questionnements et des enjeux relatifs à l’accompagnement des jeunes consommateurs.
Voir aussi :
Le guide CJC dans notre bibliothèque
La Lettre du Réseau CJC à télécharger
Un CAARUD s’adresse à des personnes qui ne sont pas forcément engagées dans une démarche de soin, ou qui sont exposées à des risques majeurs (accidents, infections – notamment hépatite C et VIH, etc.) du fait de leurs modes de consommation ou des produits consommés. Une attention particulière est portée aux usagers les plus marginalisés.
La circulaire DGS n°2006-01 du 2 janvier 2006 définit les missions obligatoires que les Caarud doivent mettre en place :
- L’accueil collectif et individuel, l’information et le conseil personnalisé pour les usager-e-s de drogues dans des lieux fixes ou mobiles de jour comme de nuit.
- Le soutien aux usager-e-s dans l’accès aux soins pour prévenir les maladies infectieuses et couvrir les besoins fondamentaux en termes de santé ((hygiène, soins de première nécessité, dépistage des infections transmissibles…)
- Le soutien aux usager-e-s dans l’accès aux droits, l’accès au logement et à l’insertion ou la réinsertion professionnelle.
- La mise à disposition de matériel de prévention des infections en adaptant les outils aux personnes usagères concernées (trousse d’injection, préservatifs, boîtes de récupération du matériel usager…)
- L’intervention de proximité à l’extérieur du centre, en vue d’établir un contact avec les usager-e-s
Le développement d’actions de médiation sociale en permettant un changement de regard sur ces usager-e-s et en les insérant dans la vie locale. - Les CAARUD ont également une mission de veille sur les nouveaux produits et les usages dans le but d’alerter les pouvoirs publics sur les phénomènes émergents.
(Source : Intervenir Addiction)
Décret n° 2005-1606 du 19 décembre 2005 relatif aux missions des centres d’accueil et d’accompagnement à la réduction des risques pour usagers de drogues et modifiant le code de la santé publique.
Circulaire n° DGS/S6B/DSS/1A/DGAS/5C/2006/01 du 2 janvier 2006 relative à la structuration du dispositif de réduction des risques, à la mise en place des centres d’accueil et d’accompagnement à la réduction des risques pour usagers de drogues (CAARUD) et à leur financement par l’assurance maladie
Les équipes de liaison et de soins en addictologie ont pour missions :
- de former, d’assister et de conseiller les soignants des différents services ou structures de soins non addictologiques de l’établissement de santé sur les questions de dépistage, de diagnostic, de prise en charge et d’orientation des patients ayant une conduite addictive.
- d’intervenir auprès des patients aux urgences et pendant l’hospitalisation en appui et en soutien de équipes soignantes.
- de développer des liens avec les différents acteurs intra et extra-hospitaliers pour améliorer la qualité de la prise en charge des patients et leur suivi.
L’équipe intervient pour : aider au repérage précoce des problèmes addictifs (alcool, tabac, substances illicites, médicaments, addictions sans produits).
Il peut s’agir d’un repérage opportuniste (par la présence de signes fonctionnels ou biologiques de tout public ou de populations spécifiques tels que les femmes enceintes, les jeunes…). Il peut s’agir également d’un repérage systématique effectué à l’aide d’outils validés. Dans les deux cas, le repérage sera accompagné selon la gravité de la situation, de conseils simples, d’interventions brèves ou d’une orientation dans le dispositif addictologique ; contribuer à l’évaluation de l’addiction, à l’élaboration du projet de soins et à la mise en place d’une prise en charge médico-psychosociale au cours de l’hospitalisation ; aider les équipes soignantes lors de la réalisation des sevrages, de la mise en place des traitements de substitution pour les opiacés ou des substituts nicotiniques ; préparer la sortie de l’hospitalisation et orienter la personne vers le dispositif spécialisé hospitalier, médico-social, la ville, avec l’aide du réseau de santé s’il existe sur le territoire.
Circulaire DHOS/O 2-DGS/SD 6 B n° 2000-460 du 8 septembre 2000 relative à l’organisation des soins hospitaliers pour les personnes ayant des conduites addictives
L’unité de soins en addictologie est un service hospitalier dédié à la prise en charge des personnes présentant des troubles addictifs ou des troubles du comportement alimentaire.
L’unité assure des consultations externes et un accueil en hospitalisation. Les soins s’articulent autour de la prise en charge du sevrage physique et de son accompagnement. La durée d’hospitalisation pour le sevrage varie selon les personnes et les produits, elle peut aller jusqu’à 4 semaines.
La principale mission de l’unité de soins en addictologie est la mise en œuvre du sevrage et son accompagnement : la cure de sevrage et le suivi médical des pathologies associées (hépatites, VIH) ; le soutien psychologique sous la forme d’entretiens individuels et collectifs ; les ateliers, groupe de parole ou activités thérapeutiques (relaxation, gymnastique douce, atelier d’expression, de création, activités sportives) ; le suivi socio-éducatif (départ en post-cure, accompagnement dans les démarches).
Un hôpital de jour accueille après un sevrage ou une postcure les personnes dépendantes qui éprouvent le besoin de consolider leur abstinence dans un milieu protégé. C’est un établissement ou une partie d’un établissement hospitalier où l’accueil se fait en journée. Les hospitalisations sont organisées en sessions de 12 semaines renouvelables. La prise en charge varie d’une demi – journée à trois jours par semaine.
Une solution dans la prévention de la rechute l’hôpital de jour est une structure de soins qui propose un accompagnement individualisé et spécialisé autour d’un projet global et construit de réhabilitation de la personne dépendante par une prise en charge médicale :
- par des entretiens de soutien, un suivi individuel et en groupe pour retrouver un rythme de vie, élaborer de nouveaux projets de vie, conforter l’autonomie, restaurer la confiance en soi.
- par des activités thérapeutiques : activités artistiques, thérapies à médiation corporelle, atelier d’écriture, atelier nutrition ou diététique, activités sportives ou culturelles, ateliers de réinsertion professionnelle…
- par un accompagnement social et éducatif.
Hôpital de Jour d’Addictologie
CHU Bellevue – Pavillon 5 Bis
25 Boulevard Pasteur
42055 Saint-Etienne
04 77 12 02 31
Mail : hdjaddictologie.infirmiers@chu-st-etienne.fr
Les SSR-A sont des structures hospitalières qui accueillent les personnes sevrées ou sous traitement de substitution avec pour objectif de prévenir ou de réduire les conséquences fonctionnelles, physiques, cognitives, psychologiques et sociales des personnes ayant une conduite addictive aux substances psychoactives et de promouvoir leur réadaptation.
Les résidents participent à un ensemble d’activités psychothérapeutique individuelle et collective visant à leur permettre de recouvrer un équilibre physique, psychologique, de consolider l’arrêt de la consommation et de favoriser leur réadaptation à une vie sociale. Ainsi, on y propose des activités groupales (groupes de paroles, séances de sophrologie, gymnastique…) ainsi que des séances individuelles (entretien avec le psychologue, consultation médicale ou psychiatrique).
Les SSR-A peuvent être particulièrement orientés vers la prise en charge des complications somatiques, des troubles psychologiques ou psychiatriques, des troubles neurologiques et cognitifs.
Rencontre Thématique n°1
ETAPE : Education Thérapeutique Addiction Patient Entourage
De plus en plus d’arguments amènent à penser que l’addiction constituerait une pathologie de la relation. Le manque de soutien familial, la communication restreinte, les conflits intrafamiliaux constituent des facteurs prédictifs de conduites addictives notamment chez l’adolescent, l’ensemble entraînant réciproquement chez les proches incompréhension, épuisement, souffrance, renoncement, ruptures… Face à ce bilan, le programme ETAPE (Éducation Thérapeutique Addiction Patients Entourages) a été créé pour répondre aux besoins des entourages des usagers, que ces derniers soient en soins ou non. A travers des objectifs fonctionnels et pragmatiques, le programme aborde les problématiques de relation et de communication, les étapes de changement, la pathologie addictive et les stratégies de soins intégratifs. Les résultats de l’évaluation annuelle a mis en évidence une amélioration significative de la qualité de vie, de la souffrance et du sentiment de compétence des entourages vis à vis des usagers et/ou patients, cette amélioration se poursuivant à plus d’un an après la fin du programme.
Dr. Lucie PENNEL et Mme Caroline SALAS-TOQUERO
Clinique d’Addictologie
CHU Grenoble-Alpes
Jeudi 21 Mars 2019 – 19h30
IFSI Bellevue – Amphithéâtre B
SISM 2019 : Santé Mentale à l’ère du numérique
Créées en 1990, les Semaines d’information sur la santé mentale (SISM) sont une manifestation annuelle coordonnée par un collectif de 24 partenaires dans le but de :
- Sensibiliser le public aux questions de Santé mentale
- Informer sur les différentes approches de la Santé mentale
Rassembler les acteurs et spectateurs des manifestations, les professionnels et usagers de la santé mentale - Aider au développement des réseaux de solidarité, de réflexion et de soin en santé mentale
- Faire connaître les lieux, les moyens et les personnes pouvant apporter un soutien ou une information de proximité
Chaque année un nouveau thème est proposé afin qu’associations, citoyens, usagers, professionnels et grand public se mobilisent et organisent des manifestations d’information et de réflexion dans toute la France.
Du 18 au 31 mars 2019, les 30es Semaines d’Information sur la Santé Mentale ouvriront le débat sur la santé mentale à l’ère du numérique.
Grâce à la refonte du site, vous pouvez désormais adhérer à LOIRÉADD’ directement en ligne en procédant au règlement des 10€ de cotisation par carte bancaire ou Paypal !
Ouverture des inscriptions au Congrès virtuel E-ADD 2019
Les inscriptions au e-congrès « Médecine, Santé des addictions et Réduction des risques 2019 » sont ouvertes depuis le 27 février 2019. L’événement se tiendra les 27 et 28 mars prochain et sera disponible en différé jusqu’au 31 mai 2019 sur ordinateur, mobile, tablette.
Ces journées sont ouvertes à tous les acteurs de santé : médecins généralistes, psychiatres, addictologues, pharmaciens, infirmier(e)s… et l’inscription est gratuite.
Lors de l’inscription il est possible de poser des questions aux intervenants pour une réponse les 27 et 28 mars.
Onze sessions en direct sous forme de plateaux TV avec les experts de chaque thème sont prévues :
- Cannabis thérapeutique(s) : Indications et modalités ?
- Alcool : En pratique aujourd’hui et demain
- Tabac : Traitements, vape et alternatives de substitution
- Guérir l’hépatite C : La mission de tous les cliniciens
- Travail et substances psychoactives – Enjeu d’une mobilisation collective
- Prescription en médecine générale et dispensation
- Réduction des risques et rôle du médecin généraliste
- Écrans et jeux : Repérage et prise en charge
- Nouveau monde et nouveaux paradigmes artificiels
- Adolescence avec ou sans substance
- DOM TOM : Océan Indien – Caraïbes – Guyane
Le réseau INHSU, partenaire de la Fédération Addiction, vous propose une formation gratuite à Lyon le 20 Mars 2019
Ces dernières années, le champ des hépatites a connu des révolutions successives, qui rendent aujourd’hui possible d’en guérir, et de stopper l’épidémie à l’horizon 2025.L’ensemble des recommandations mettent désormais en avant la nécessité d’un renouvellement de l’accompagnement des personnes vulnérables – parmi lesquelles les usagers de produits – afin de repérer, de dépister, de traiter et de réduire les risques.
Ce programme de formation s’adresse aux addictologues, aux médecins généralistes, aux infirmiers et d’autres personnel médical qui travaillent auprès des usagers de drogues injectables. Après une formation en ligne et des ateliers animés par des experts locaux, les participants seront outillés pour prescrire en toute confiance.
À la fin de ce programme, les participants pourront :
- Décrire les facteurs de risques d’une infection par le VHC pour permettre un dépistage et des actions de prévention efficaces
- Être capable de réaliser et d’interpréter les résultats des tests de diagnostic d’une infection par le VHC
Reconnaître les facteurs de risques, les signes cliniques, les symptômes et les complications des maladies du foie - Démontrer une bonne compréhension des traitements du VHC par AAD et être capable de choisir le traitement approprié
- Reconnaître les facteurs de risques, les signes cliniques, les symptômes et les complications des maladies du foie